Analyse d'une célèbre chanson de Pink Floyd:"Another break in the Wall"

Aujourd’hui je vais vous parler d’une chanson du groupe Pink Floyd : "Another brick in the Wall" partie 2, sorti en 1974.Cette chanson fut composée par Roger Watter, le bassiste du groupe Pink  Floyd. Ce fut aussi lui qui eu aussi eu l’idée de l’album : The Wall.

Tout commence lors d’un concert à Montréal, où un spectateur apparemment drogué cherche les ennuis. Cet énergumène énerve Roger Watter qui finit par littéralement lui cracher dessus… C’est à ce moment-là qu’il eu l’idée d’un mur entre lui et le public, d’où « The Wall » littéralement « Le Mur ».

Cet album raconte une histoire : la vie d’un jeune home, Pink.

Au début si j’ai dit que j’allai parler de Another brick in the Wall "partie 2", c’est parce que Another brick in the Wall est une musique divisé en trois parties :

- La première  raconte comment son père s’est fait tuer pendant la seconde guerre mondial comme le père de Rogers Watter

- La deuxième dénonce la dureté des écoles anglaises dans les années 1950, c’est ainsi un moyen pour le bassiste de se venger de ses professeurs d’école souvent plus intéressés pas le respect de l’ordre que par l’apprentissage.

- Et enfin dans la troisième, il déclare qu’il se sépare des choses inutile dans sa vie : sa femme qui le trompe, la drogue… On remarque beaucoup de similitudes avec la vie de Rogers Watter.

S'il y a, dans cette chanson et dans l’album en général, autant de ressemblance avec la vie de Rogers Watter, c’est tout simplement que Rogers Watter a composé l’album presque tout seul pendant que les autre membres du groupe étaient en vacances ! C’est d’ailleurs suite à cette album que le groupe se sépara…

Maintenant parlons de la chanson en elle-même :

Un petit rythme disco emprunté a Nile Rodgers (compositeurs des années 60-70) débute le morceau et se répète 18 fois.La chorale que l'on entend est  une classe d’une école située à côté du studio d'enregistrement été décuplée 22 fois.

Ainsi dans le clip on voit tout les enfants marcher à la file indien en entrant dans un machine et ressortant avec un masque sur la tête tandis que d’autres élèves n’ont pas la même chance et tombent…dans un hachoir. On a donc l’impression qu’un choix s’effectue entre les bons et les mauvais élèves.

                                            le clip

Baptiste des "Musicos"